Soutien au Foyer du Jour « Elders House » à Chagalamarri
En 2011 : CONSTRUCTION D’UN FOYER DE JOUR POUR FEMMES AGEES DELAISSEES
DIGNITY a choisi comme objectif pour 2011 de construire un foyer de jour pour 30 femmes démunies au village de Chagalamarri.
Le travail très dur qui a ruiné la santé de ces femmes ainsi que leur âge avancé a pour conséquence qu’elles ne peuvent plus trouver d’occupation rémunérée. Leurs familles respectives n’ont pas assez de ressources pour les nourrir. Donc elles sont condamnées à mendier dans les rues pour subvenir à leurs besoins.
Pour soulager ce sort extrêmement humiliant, DIGNITY a rassemblé les fonds nécessaires pour bâtir un hall polyvalent où ces femmes peuvent recevoir 3 repas gratuits par jour. Le partenaire responsable en Inde est une association chrétienne qui reçoit ces femmes appauvries indépendamment de leur appartenance religieuse.
En janvier 2012 : Inauguration du projet ELDERS HOUSE
La maison a été inaugurée lors de la visite de Madame Yvonne Lanners et de Monsieur Tom Schaul le 4 janvier 2012. Sur place l’association indienne locale, la Allagada Taluk Harijan Christian Welfare Society, est chargée de faire la gestion de la maison et de l’entretien des personnes admises.
La construction de la maison a un impact sur la vie paroissiale : il y a une reconnaissance des sans-castes et des chrétiens indiens par les étrangers.
15 femmes peuvent maintenant séjourner pendant le jour dans cette maison où 3 repas quotidiens leur sont assurés.
Les frais de fonctionnement comprennent essentiellement l’achat de nourriture pour les bénéficiaires afin que 3 repas quotidiens leur puissent être garantis. En outre il faut subvenir aux frais d’entretien de la maison, de la cuisine et du salaire du cuisinier. Ces frais sont chiffrés par CSWS à 200€/personne/année (des variations sont possibles suite aux fluctuations des cours monétaires).
Il existe une longue liste de demandeurs, mais tant que les fonds sont petits Dignity a décidé de ne pas adopter de nouveaux demandeurs et d’assurer en premier lieu les besoins des personnes adoptées.
Il existe une liste d’attente pour 15 nouvelles femmes.